Humour pour vous :Le boucher parlé le louchebem

 

Maintenant que je suis tranquille

libre  😦Le boucher parlé le louchebem)

 je peux vous donner quelques secrets de ce qui se racontait dans les laboratoires de boucherie avec les amis et amie  louchebeme mes amis que j’aime beaucoup les boucher les apprentis les commis boucher bien souvent le chef de notre atelier aimer la rigolade il était souvent complice avec le Patron (latronpuche)

Un atelier de découpe, Ont parlé le largomuche mon autre patron dans les boutiques ? Aux alentours de ma ville pour que les apprentis ne comprennent rien et si il racontait une blague qu’il avait préparée à l’avance en largomuche et nous autres comme toujours on n’y comprenait rien ?  On m’avait expliqué qu’il fallait écrire la phrase sur un papier pour pouvoir la traduire par la suite pour les non initiés comme moi après 42 ans de travail je n’ai certainement pas tout compris des anciens ? ((exemples)) :   Écrire un programme qui lit des mots sur l’entrée de largomuche et  les affiche après les avoir converti en "louchebem" (langage des bouchers).  Cette conversion consiste à : reporter la 1ère lettre du mot en fin de mot, suivie des lettres ‘e’ et ‘m’,  remplacer la 1ère lettre du mot par la lettre ‘l’. Boucher  =  loucherbem Exemples :  vison  =  lisonvem  Exemples  vache  =  lachevem   Exemples  bonne =  lonnebem  mais je peux vous dire qu’on rigolait beaucoup quand c’était utilisé en français et que les traductions du largomuche  étaient mis sur la table ,ou le billot,  où la planche de travail  (Exemples) de ce qui se racontait en douce dans les laboratoires bien souvent c’était au magasin que ça se passait et la clientèle n’y comprenait rien on rigolait beaucoup en arrière-boutique bien souvent la clientèle croyait qu’on se moquer d’elle alors qu’en réalité on rigolaient des bêtises que le patron et le chef disait au commis et vice versa

Exemples le patron disoit en largomuche  au principal boucher qui servait la clientèle au magasin (enlève la culotte à la dame épluchait-la complètement ?)   ((bien sur la culotte c’était un morceau de viande))  et il reprenait en langage de largomuche  ((moi je vais lui passer la langue qu’elle a commandée ?)) Tout était écrit sur le cahier de commandes  je vous promets que quand c’était bien dit tout le laboratoire éclaté de rire à l’arrière-boutique la patronne partez  faire pipi  tellement elle pouvait plus se tenir de rire ? Ça me semble logique, dans les boucheries pour pouvoir communiquer avec les commis et les apprentis et  avec quelqu’un qui n’est pas familier avec nos expressions. Certaines personnes, moins habituées à ces échanges de louchebem, ne pensent pas à “ajuster” ainsi leur langue et ce sont parfois des français très intelligent qui ne comprennent rien à notre conversation cela nous fait encore plus rire. Il y avait des expressions dans la viande des morceaux comme les jumeaux la bavette le jarret les rognons blancs la culotte la langue les poils d’une tête de veau mal rasé ? qui portaient beaucoup à rire surtout qu’and c’était raconté en largo muche par un collègue blagueur très bien organisé dans ses blagues racontées la tête de la cliente quand elle avait rien compris à leurs conversations très grossières mais combien rigolotes quand on avait des notions de largo ou que l’ancien boucher nous traduisait ce qu’il avait dit en largo en langage réel alors nous autres qui le parlons pas beaucoup nous avions d’autres méthodes pour déconner et faire croire qu’on parlait largo on prenait des phrases comme par exemple en réalité si on répète cette phrase très vite la personne qui est à côté n’y comprend rien exemple : vos laitue naissent-elles !!!Le commis à côté me répondait pour épater la galerie qui n’y comprenait rien !!! Oui mais laitue naisse ! (répète cette phrase très vite  la personne qui est à côté n’y comprend rien du tout simplement je lui demandais si les salades de son jardin pouse bien ?

D’autre part pour bien rigolé entre louchebem, le terme de largomuche  recouvre tous l’emploi du mot «argomuche, et s’applique plus particulièrement à des techniques de déformation phonétique des mots comme le largonji, le louchébèm, le verlan ou la javanaise. Le largonji et le louchébèm relèvent tous deux d’une même technique de base, qui consiste à remplacer par la consonne initiale du mot et à rejeter celle-ci en fin de mot  suivie d’un suffixe l, en largonji mot qui signifie lui-même largo muche des bouchers , en largonji et em ou é, en louchébèm boucher , en louchébèm, ce jargon muche  étant à l’origine celui des bouchers parisiens et les forts des halles . La javanaise comme le chante si bien Gainsbourg consiste à intercaler la syllabe av, ag ou adg devant chaque lettre de l’alphabet non muette sadgaladgut, p’tadguite tadguête, !« salut » , !« p’tite tête » ! . Quant largo muches, réapparu au cours des années 1983 jusque  chez nous ont déchargé les camions de l’étranger chez les jeunes des milieux louchebem qui venaient nous aider et qui connaît un certain succès au-delà de son milieu ! , (exemple)  il consiste à inverser les syllabes à l’intérieur des mots verlan signifie à l’envers, en verlan. Vendredi après avoir fermé mon ordinateur, je vais faire mes courses chez mon boucher habituel  Place de l’hôtel . En attendant mon tour, je jette un œil sur un article du journal qui était là pour ça, sur le comptoir . On y évoquait le louchebem. Il y avait bien longtemps que je n’avais pas entendu parler du louchebem!!! J’avais enfoui ce mot et son contenu au fond de ma mémoire de bouchers mon premier métier le plus beau de la planète. Le louchebem est l’argomuche que les bouchers de la Villette pratiquaient en soulevant des grands quartiers de viande dont je pense avoir porté toute ma vie sur mon dos car j’étais très costaud. Je demande au boucher s’il connaît encore quelques mots en louchebem. Quelle ne fût pas ma surprise d’apprendre qu’il connaissait parfaitement bien cet argomuche et qu’il le pratiquait avec sa femme Coco du même âge que lui il parle tous les deux le patois de chaudes -Aigues  dans le cantal Elle m’avoua que c’était d’ailleurs très pratique pour communiquer lorsqu’ils voulaient se parler sans être compris de l’environnement des villes. Je lui demandai de me dire quelques mots en louchebem. Après quelques temps une conversation en patois avec moi et sa femme d’arriver qui n’étaient pas moi ? et à l’incongruité de la conversation, il se mit à me parler en louchebem le même que celui de mes employeurs j’étais heureux de voir qu’en France il y a toujours un boucher sympathique les jeunes bouchers ne le pratiquent plus . Serait-il en train de vivre ses derniers moments? C’est de cette époque dit-on que de nouveauté prit l’habitude d’appeler le café, le bistro du coin merci

latronpuche

(Boucher = louchebem) ,(cher = 1erche ou 1erchèm),( femme = lamfé ou lamdè),(café =lafécaisse)suivant plusieurs personnes d’autres manières ? Lacsé : sac. Laféquès, café. Larantequé, quarante. Lardeuss, pardessus. La formation a dû être l’ardess-du-pa avec calembour. Suffixé en lardos, lardingue.  Larfeuil : portefeuille, sans doute à partir de feuillard. Leudé, deux. Lidré : dix ronds (cinquante centimes). Linspré, prince. La formation est peu classique car elle concerne le groupe consonantique.  Linvé : vingt sous, un franc. Lobé, beau. Lochebé, boche. Lorcefée, la Force (prison). Lorgnebé, borgne. Loubé, bout.  Loucedé, en douce.  Louf, fou. La suffixation pour loufoque, louftingue est postérieure.  Louivé, oui, à partir de  voui Loupaque, pou. Avec un suffixe -aque.  Loussé, sou.Labatem, tabac. Laquépem, laq’çonpem, paquet.  Larantequem, quarante  Larq’bem, quart. Latrequem, quatre. Lerchem, cher. Linguem, couteau.  Louchébème, bonjour.
 Louivème, oui Loussem, sous Luctrème, truc.(douce =1oucedé ou loucedoc),(femme =lamfé ou lamdé),(fou = loufoque),(gigot = ligogem), (porc =lorpic) monsieur = (lesieumic ou latrochem) patron = (latrompuche ou latronchém)maquereau = lacromuche pardon = lardonpem portefeuille = larfeuille (lortefeuillepem) sac = lacsé pardessus = lardeuss (lardeussupem le style est tellement mauvais que je suis obligée de relire plusieurs fois le largomuchem C’était vraiment surprenant de constater, que ce langage était toujours vivant et pourtant ignoré de la majeure partie des gens ? Reprenant le mot au vol l’argot à son tour le malaxe et le refond pour en faire listroquet, listroque, troquet, bistroquet et finalement le raccourci bistrot avec un t car il ne faut pas oublier que l’on dit en parlant de son tenancier ou de sa tenancière qu’il est un bistrotier ou une bistrote
Si la logique est intégrée, vous vous serez peut-être aperçu que louchebem signifie (boucher) . Très bien vous pouvez donc maintenant comprendre l’étymologie d’un terme certes rarement utilisé mais dont nous comprenons tous le sens : loufoc  oufolem

 

11 réflexions sur “Humour pour vous :Le boucher parlé le louchebem

    • J’adore le printemps qu’est-ce que ses jolies chez-toi 🙂 merci d’être venu sur mon blog 😉 10 réflexions sur “Humour pour vous : Le boucher parlé le louchebem” je me suis engagé aujourd’hui à la Grande traversée du Limousin 2014 en VTT alors le printemps j’adore bisou sur votre blog
      Magnifique

    • Pas de problème monickmata de largonji des louchébems votre site est magnifique , je suis un ancien boucher à la retraite qui pour moi la vie est belle après 42 ans de carrière comme louchebem dans la boucherie qui est pour moi le plus beau métier du monde bonne continuation à vous monickmata et aussi bon dimanche avec de la neige chez nous dans le Cantal encore bonne fête de Noel pour le 25

  1. Alors les lopainces les louchebem!!! Loujourtoc des ledalpocs??? Les levrem licmecs c est les loissoniepem du larchemes de lanampem et de lungisroc. Loime j lausecem largomuche lieume que ces letipocs loutroc du luces de louchebem…. Mais c est lonbem… À lanampoc les louchebem et les loissoniepem lausecem largomuche comme des lerfrems mais c est loujourtoc la lerregues fraternelle…

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